Malgré l’expulsion de l’État islamique (EI) en Libye de Syrte et Benghazi en 2016 déjà, le groupe terroriste a commencé à se réorganiser et a pu attaquer à la fois l’Armée nationale libyenne (ANL – fidèle à l’homme fort de l’est du pays, le maréchal Khalifa Haftar, qui règne à Benghazi) et les milices de Misrata. En mai 2017, le groupe a pris pour cible un convoi appartenant à la Troisième Force de Misrata (une milice controversée soupçonnée de crimes de guerre lors du « massacre de Brak al-Shati », base aérienne du sud-libyen où, le 18 mai 2017, la Troisième Force tua 134 personnes dans les rangs de l’ANL et parmi les civils, plusieurs militaires ayant été tout simplement exécutés).
LIBYE – Risques de conflagration dans le Croissant pétrolier
Despite the expulsion of the Islamic State (IS) in Libya from Sirte and Benghazi the past year, the group started to reorganize and was able to attack both Libya National Army and Misrata militias. In May 2017, the terrorist group targeted a convoy belonging to the Misrata Third Force, a controversial militia suspected of war crimes in the so-called “Brak al-Shati massacre” the same month by killing 134 people in LNA ranks, and among civilians some of them simply executed.
LIBYA – Risks of a conflagration in the Oil Crescent
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